La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1499)
La jeunesse dEdouard dEvans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode précédent N°1498)-
- Lèche !
Je m'exécutai naturellement sans attendre, sentant le goût du cuir sur ma langue. Je sentis que l'on fixait une laisse à mon collier d'esclave et je fus contraint de me redresser. Jétais debout, la tête baissée, face au corps nu de la belle Chloé dont mon regard pouvait voir les hautes bottes qu'elle avait donc passées. Sous le regard avisé et attentif du Châtelain confortablement installé dans un fauteuil du salon, la jeune femme me fit ainsi évoluer à sa suite, me tenant en laisse et n'hésitant pas à faire claquer sur ma peau, la badine qu'elle tenait maintenant à la place du paddle. Jévoluais d'abord sur les pieds, puis elle me fit remettre en quadrupédie me forçant à progresser ainsi le plus vite possible, motivant mes évolutions par de petits coups de badine sur ma croupe déjà tellement avivée par la séance de paddle
Tel un cheval mené par son écuyère, Chloé me faisait ainsi aller et venir à travers la pièce, interrompant parfois les allées et venues pour me faire prendre diverses positions aussi dégradantes et impudiques que possible, m'exposant le plus possible. Ainsi, je dus me tenir à genoux, les cuisses très largement écartées, les mains reposant sur mes cuisses, paumes vers le haut, offrant mon intimité encagée au frottement de son talon qui appuyait dessus sans ménagement. Puis, dans la même position, je dus lécher la semelle souillée de ses bottes, qu'elle vint ensuite frotter entre mes cuisses.... Elle me fit aussi prendre la position du chien qui pisse, la jambe, que dis-je, la patte levée en arrière, puis la position de la femelle qui pisse, accroupie mais avec les mains jointes sur mon crâne, etc
Sur un geste du Noble qui contemplait ainsi Ses créatures totalement soumises à Sa Volonté, Chloé cessa et attendit, immobile de nouvelles instructions.
- Nous allons le laisser ainsi un moment, dit-il à la soumise qu'il enlaçait dans sa nudité offerte. Et je demeurai là, immobile, le corps parcouru de la morsure des pinces... Le Maître et Sa soumise quittant la pièce.
Je ne saurai dire combien de temps cela dura, mais je ne puis qu'entendre les gémissements sans retenue de Chloé subissant avec la plus totale impudeur les assauts répétés du Maître qui devait visiblement la besogner à grands coups de reins. Elle jouissait sans la moindre retenue, suppliant Le Maître de la prendre encore et encore ! La morsure des pinces se faisant à chaque instant plus profonde, j'avais du mal à suivre les ébats sexuels qui se déroulaient, supposai-je, dans la chambre de la jeune femme. Mais je compris que la belle femelle avait l'honneur d'être possédée sans limite par le jeune Marquis Edouard d'Evans, qui ne négligeait aucun de ses orifices qui naturellement ne sauraient avoir de devoir plus absolu que d'être offerts au Maître et de Lui procurer la plus totale Jouissance.
- Il est temps de libérer ce chien de ces pinces, commenta le Maître. Et pour cela tu vas avoir besoin d'un autre instrument, dit-Il à Chloé, lui tendant maintenant une cravache. Tu vas t'appliquer à faire sauter les pinces une à une, poursuivit-Il. Il faut frapper juste, sèchement mais d'un petit coup pour faire sauter la pince, sinon elle se détache mal. Commence et sois précise, si une pince est mal détachée, nous la replacerons sur son corps... Allons, va !
Et toi, le chien, je ne pas tentendre
Aucun son ne doit sortir de ta bouche de pute
Reprenant place dans le fauteuil d'où Il pouvait contempler la scène dans son ensemble, le jeune Edouard d'Evans observait Sa soumise Chloé testant Son caractère dominant sur l'esclave que je suis, contraint à la plus passive servilité et grimaçant en silence sous la multitude de pinces colorées qui décoraient mon corps douloureusement tourmenté. Une érection commençait à poindre, tant cela mexcitait dêtre ainsi malmené, mais elle fut réprimée par ma cage de chasteté et ainsi comprimait ma nouille qui tentait de gonfler de volume
Chloé bien que débutante me cravachait, moi simple esclave, avec une précision appliquée, elle faisait de son mieux afin que chaque coup de cravache fasse sauter une pince à la fois et une seule. Lorsque, par manque d'expérience une pince était mal détachée, la belle soumise s'approchait, enlevait la pince, ce qui fut très douloureux à chaque fois, et la replaçait ailleurs sur mon corps meurtri, puis elle regagnait sa place, levait la cravache et l'abattait à nouveau, visant au mieux une nouvelle pince...
Lexercice durait, s'éternisait, surtout pour moi qui supportait les pinces depuis un si long temps.
- Cela suffit. C'est bien, tu as été appliquée et pas trop maladroite. lui dit-Il tout en caressant son opulente poitrine dénudée. Mais tu dois aussi apprendre à fixer des limites. Certes un esclave n'a aucun droit, il n'est rien d'autre qu'un objet animé à la disposition des Supérieurs. Celui-ci M'appartient et je puis en user comme bon Me semble, autant que bon Me semble. Il n'a rien à dire, aucune opinion à exprimer car la seule opinion qui lui est permise, c'est d'accomplir Ma Volonté, quelle qu'elle soit et quoi qu'il lui en coûte. Mais en tant que Maître, j'ai aussi une responsabilité incontournable. Une responsabilité que tu devras aussi assumer lorsque Je déciderai de t'autoriser à exprimer ta seconde nature, celle de dominante. Aussi tu dois apprendre à percevoir le moment, assez subtil il est vrai, où l'esclave que tu tourmentes atteint certains points de rupture. Bien sûr, son devoir sera de toujours aller plus loin, de toujours pouvoir supporter plus. Jamais il ne devra cesser d'atteindre ses limites et de les dépasser afin de Me satisfaire. Et je ne cesserai jamais de Me montrer plus exigeant, plus contraignant, plus intransigeant parfois, afin de jauger sa capacité d'inférieur à se dépasser dans l'unique but qui compte pour une telle chose : Satisfaire uniquement le Maître
Et là, en cet instant, je pense que cet esclave a assez subi pour aujourd'hui.
Chloé compta les vingt et une pinces encore accrochées à mon corps servile. Le Maître la fit alors mettre dans la même position que celle dans laquelle je me tenais. Et une à une Il retira de moi les pinces pour les placer au même endroit sur le corps de la soumise. Ce sont ainsi 21 pinces qui passèrent de mon corps au sien... Je ressentais encore dans ma chair la brûlure que laisse une pince lorsqu'elle est restée longtemps attachée au corps. Mais cela peu à peu s'estompait et je risquais un bref regard vers Chloé qui affrontait les pinces pour la première fois. Le jeune Marquis travaillait un peu son magnifique corps de femelle, il tirait doucement sur une pince accrochée au téton gauche, le tordant un peu afin d'obtenir une grimace silencieuse sur le beau visage de la soumise. Il m'intima l'ordre de ramasser toutes les pinces qui jonchaient le sol après avoir été ôtées, tantôt, de moi à coups de cravache par la belle Chloé. Je tenais toutes ces pinces entre mes mains et le Maître, maintenant, les plaçait sur le corps de Chloé...
(A suivre
)
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